Mai 232015
 

Paul LeautaudTout le monde a oublié Maurice Garçon, qui a quitté ce monde il y a une cinquantaine d’années. Mais la parution du « Journal 1939-1945 » de celui qui fut l’avocat des grandes causes criminelles et littéraires de l’époque vaut par son écriture libre et sans retouches.

Et de tomber sur cet extrait d’une rencontre, en 1941, avec le fantasque écrivain Paul Léautaud :
« Léautaud vient déjeuner chez moi.
Il me dit : je ne pourrais plus vivre si je devais manquer de tabac et de café. Si le café venait à me manquer, je crois que je serais capable de tout, même de me marier pour en avoir …
Et il a gloussé comme un vieux singe 
».

On a toujours dit qu’il y avait pire que le tabac.

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