Mon buraliste va vite me perdre de vue. Et décidément, Le Parisien nous apprend un tas de choses. Hier, lundi, c’était cette histoire d’une étude qui demandait aux fumeurs de supporter, exclusivement, le coût qu’est supposé représenter le tabac – produit légal – pour la collectivité.
A quand le prix du fast-food indexé sur les charges sanitaires croissantes, provoquées par l’obésité ?
Et j’attends que le prix du carburant intègre les frais représentés pour un tas d’entreprises, petites ou grandes, par cette plaisanterie de la circulation alternée (décision annoncée en plein week-end) sur Paris, hier.
Quoiqu’il en soit, de brillants chercheurs (aux calculs aussi compliqués que contestables) sont arrivés à la conclusion que le paquet – dont 80 % du prix financent déjà la sécurité sociale – soit dit en passant – devait augmenter de 6 euros pour passer à 13,07 euros. Soit une augmentation de 87 %.
Et le prix d’un futur petit voyage aux frontières belges, espagnoles ou luxembourgeoises, on aura droit de le défalquer du prix ?